France - Géorgie
Une longue histoire en devenir
Les relations d'hier
Les relations entre France et Géorgie ne datent pas d'aujourd'hui ...
déjà au 14e siècle
Au XVe siècle on trouve trace des premières relations diplomatiques entre les deux pays : Charles VII, en 1490, reçoit une délégation envoyée par le roi de Géorgie Guiorgui VII.
François Ier recevra, à son tour, une délégation officielle.
Puis, plus tard, Louis XIV accueillera Saba Orbeliani dépêché par le roi Vakhtang VI.
Plus près de nous
A la suite du rétablissement de l'indépendance en 1918 en 1918, c'est Aristide Briand qui reconnait de jure la jeune République de Géorgie. Une Légation géorgienne est ouverte à Paris.
Cette Légation continuera à exister jusqu'en 1933, soit bien après l'annexion de la Géorgie par la Russie soviétique.
Restauration de l'indépendance
Dès qu'éclate l'URSS, la Géorgie proclame et restaure son indépendance. La France de nouveau la reconnait en 1992 et ouvre, dès mars 1993, une ambassade à Tbilissi.
Aujourd'hui :
le Dialogue structuré Franco-géorgien Amilakvari
Depuis le rétablissement de l'indépendance, la Géorgie et la France, n'ont pas cessé de réaffirmer leurs liens.
L'instance transversale de coopération, dénommée "Dialogue Dimitri Amilakvari", mise en place en 2019 incarne la volonté des deux pays de collaborer de manière systématique dans les domaines stratégiques, scientifiques et culturels.
La Géorgie en 2021
Des valeurs européennes
Membre du Conseil de l'Europe, la Géorgie s'affirme comme candidate à l'entrée dans l'Union Européenne. Elle adhère à ses valeurs, son histoire et les institutions dont elle s'est dotée le prouve.
Aujourd'hui démocratie parlementaire, économiquement "libérale", la Géorgie remplit les critères lui assurant une réelle crédibilité comme nation européenne.
Ayant signé le traité de partenariat oriental, elle est à même de proposer des conditions avantageuses aux entreprises souhaitant s'implanter ou investir sur son territoire.
